Baras Bird Sanctuary: Herrons et méchants dans le sultan Kudarat, Philippines

Les oiseaux ont fait de sa ferme leur adresse permanente.

C’était une explosion aviaire. Rey Malana, un ancien marin, possédait une parcelle de 1,3 hectare de ferme de poivre de Riverside dans la ville de Tacurong. Un matin en 1996, il a trouvé quatre aigrettes perchées sur un arbre à l’intérieur de sa propriété. Les oiseaux se sont envolés plus tard dans la journée pour revenir avec quelques compagnons beaucoup plus ailés. Le cycle s’est répété chaque matin sur cinq ans, avec d’autres espèces qui arrivaient. Et mieux devant les yeux de Malana, leur nombre est monté en flèche à 20 000. Avant qu’il ne le sache, sa ferme de poivre noire ne pouvait plus fonctionner. Les oiseaux avaient repris la ferme.

Mais Malana, un amateur de nature, n’avait pas l’objectif de les chasser.

Baras Bird Sanctuary est une destination d’éco-tourisme à Tacurong City
Baras Bird Sanctuary était une ferme noire au poivre
Il y a sept espèces d’oiseaux ici, qui comprennent le Heron Night Black Crown, le Grand Egret et l’Egret intermédiaire. Ces oiseaux migrateurs ne sont pas étrangers à Tacurong; Ils passent généralement dans certains mois. Cependant, pourquoi les oiseaux ont choisi de rester dans son humble ferme est toujours un mystère pour beaucoup. Leur habitat précédent aurait pu être détruit. Ils auraient pu trouver un endroit beaucoup plus tactique, compte tenu de sa proximité avec leur terrain de chasse – le lac Sebu, le lac Buluan et le marais de Liguasan, où la nourriture reste abondante. “Ce qui compte, c’est qu’ils sont ici”, a déclaré Malana lors d’un briefing, “et nous devons donc les sauvegarder.”

Protéger de quoi, demandez-vous? “En raison de leur nombre, les activités de chasse intensives sont devenues un problème”, a déclaré Malana dans une caractéristique vidéo sur le sanctuaire. Il y a eu des rapports de braconnage des oiseaux dans la région. «Ma vie est menacée de protéger ces oiseaux.»

M. Rey Malana possède la ferme qui était dominée par les oiseaux
Ceci est un cap d’écran d’une vidéo sur le sanctuaire (vous pouvez le voir ci-dessous). Voir les points blancs sur les arbres? Ce sont tous des oiseaux.

Il a demandé l’aide du gouvernement local. En août 2002, le gouvernement de la ville de Tacurong a déclaré sa terre une destination d’écotourisme officiellement connue sous le nom de Baras Bird Sanctuary.

Si vous n’êtes jamais allé dans un sanctuaire d’oiseaux auparavant, il y a de fortes chances que vous soyez un peu paniqué par le nombre de nos amis en plein essor ici. À un endroit donné, des dizaines peuvent être trouvées – perchées sur les arbres ou volant au-dessus. Mignon et tout, mais ce sont aussi de grands oiseaux. À un moment donné, je me suis demandé jusqu’à ce que le nombre était considéré comme sain? Quand devient-il trop? 1,3 hectares est-il assez grand pour tous?

Les gazouillis et les cris ajoutent au bourdonnement du ruisseau adjacent. Les plumes blanches tapent le sol, flottent dans l’air ou se piégeant dans des ewebs d’araignée. Les vignes au poivre sont absentes maintenant, mais les nids ornent les branches supérieures des kakawate. De temps en temps, surveiller les lézards font leur apparition. Il n’est pas non plus inhabituel de voir des nouveau-nés impuissants au pied d’un arbre. Ou des œufs allongés sur le sol. Mais il est essentiel de ne rien toucher et de laisser la nature suivre son cours. Les professionnels viennent de temps en temps pour vérifier la grippe oiseau et d’autres problèmes qui peuvent survenir.

Je n’ai pas pu me faire une bonne chance des oiseaux. Huer. Dammit.
La légèreté d’être… une plume. #Ipilitlang
Un oiseau mort et un œuf sur le sol
Nids perchés sur les arbres

Pour réduire l’impact, les voyages sont fortement réglementés. Seules 10 à 15 personnes sont autorisées par lot, et chacune doit subir un briefing. Il est également interdit aux visiteurs de se promener hors du sentier, de parler fort ou de ramasser quoi que ce soit à l’intérieur du site.

Le meilleur moment pour visiter est deux heures avant le coucher du soleil, lorsque les hérons de nuit et les autres oiseaux nocturnes quittent l’endroit pour chasser, et les autres rentrent à la maison d’une journée de travail. C’est la période où l’on pourrait observer tous les oiseaux volant activement, s’occupant de leur jeune, reproducteur.

Par son apparence, ces oiseaux sont là pour rester. Et comme ce que Malana a dit, il ne reste rien à faire que de les sauvegarder.

Baras Beach Sanctuary
Tacurong City, Sultan Kudarat, Philippines

Une réservation avancée est requise. Contactez City Enro Office au (064) 384 1824

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